Aux sombres héros de l’amer
Qui ont su traverser les océans du vide,
A la mémoire de nos frères
Dont les sanglots si longs faisaient couler l’acide
Always lost in the sea
Always lost in the sea
Tout part toujours dans les flots
Au fond des nuits sereines
Ne vois-tu rien venir
Les naufragés et leurs peines qui jetaient l’encre ici
Et arrêtaient d’écrire
Maisons de confiance : familles de commerçants et artisans
Étretat, où y’a pas qu’des marins…
Les villas étretataises et leurs noms, un peu de géographie sociale
Une résidence secondaire en Normandie…pourquoi pas à Etretat ? Reste à trouver un joli nom de baptême. Mais attention, foin des « Sam’Suffy », « DoMiSiLaDoRé » et autres « Toi et Moi », ici on fait plutôt dans le Castel chic ou dans le Cottage british !
Les cabestans d’Etretat
Si a 50 ans on n’as pas un cabestan, c’est qu’on a quand même raté sa vie. aurait dit Jacques Séguéla, s’il avait vécu deux siècles plus tôt.
Les premiers recensements de la population étretataise
La première fois que les Etretatais ont été passés en revue, c’était à la veille d’un grand chambardement dont ils n’avaient sans doute pas idée
Gravés dans la pierre : les monuments aux morts étretatais
La notion de « mort pour la Patrie » a été définie techniquement par une loi du 2 juillet 1915. A partir de 1919, la France voit proliférer les monuments commémoratifs du sacrifice collectif qui toucha presque tous les foyers français, jusqu’aux territoires les plus reculés de la métropole et de l’outre-mer. Cénotaphes édifiés dans le style académique, ils portent presque toujours la liste des soldats tombés pour la France, en guise de tableaux d’honneur exposés à la vue du passant. Memento mortuorum.
Souvenirs de la Transat 2015
Le temps est loin où les caïques et les doris naviguaient dans la rade d’Etretat mais tous les deux ans, peu avant la Toussaint, des géants des mers viennent maintenant offrir aux terriens un spectacle grandiose
Le climat étretatais
Le géographe Max Sorre définissait le climat comme « la série des états de l’atmosphère au-dessus d’un lieu dans leur succession habituelle » ; de son côté, Pierre Pédelaborde précisa que « la notion de temps, et par voie de conséquence celle de type de temps, sont des notions élastiques ». De fait, en matière de climat, il y a de la marge entre le ressenti et le mesuré.
Les épidémies à Etretat entre 1740 et 1850
Parce que l’Histoire permet de considérer l’actualité avec le recul nécessaire à une analyse objective, faisons un peu de démographie historique
Le sous-sol étretatais
On dit qu’Etretat est bâti sur le galet ; interrogeons les géologues !