Gravés dans la pierre : les monuments aux morts étretatais

La notion de « mort pour la Patrie » a été définie techniquement par une loi du 2 juillet 1915. A partir de 1919, la France voit proliférer les monuments commémoratifs du sacrifice collectif qui toucha presque tous les foyers français, jusqu’aux territoires les plus reculés de la métropole et de l’outre-mer. Cénotaphes édifiés dans le style académique, ils portent presque toujours la liste des soldats tombés pour la France, en guise de tableaux d’honneur exposés à la vue du passant. Memento mortuorum.