Quand les touristes ont commencé à remplacer les harengs et les maquereaux
Catégorie : Maupassant
Tempêtes et naufrages : à propos d’une exposition
En guise d’appendice à Fortunes de mer, une visite virtuelle à une exposition parisienne réussie
La politique à Étretat
Malo hic esse primus quam Romae secundus…
Maisons de confiance : familles de commerçants et artisans
Étretat, où y’a pas qu’des marins…
Les villas étretataises et leurs noms, un peu de géographie sociale
Une résidence secondaire en Normandie…pourquoi pas à Etretat ? Reste à trouver un joli nom de baptême. Mais attention, foin des « Sam’Suffy », « DoMiSiLaDoRé » et autres « Toi et Moi », ici on fait plutôt dans le Castel chic ou dans le Cottage british !
Gravés dans la pierre : les monuments aux morts étretatais
La notion de « mort pour la Patrie » a été définie techniquement par une loi du 2 juillet 1915. A partir de 1919, la France voit proliférer les monuments commémoratifs du sacrifice collectif qui toucha presque tous les foyers français, jusqu’aux territoires les plus reculés de la métropole et de l’outre-mer. Cénotaphes édifiés dans le style académique, ils portent presque toujours la liste des soldats tombés pour la France, en guise de tableaux d’honneur exposés à la vue du passant. Memento mortuorum.
Les vitraux votifs de l’église Notre-Dame
L’église d’Etretat est ornée de vitraux du XIXe s. qui racontent une période particulière de l’histoire économique et sociale étretataise