Une plaisanterie apocryphe prétend qu’à Étretat les centenaires ne meurent que par imprudence. Qu’en est-il vraiment ?
Étiquette : XXe siècle
Les portes d’Étretat
Meae portae semper apertae sunt
Fortunes de mer
Aux sombres héros de l’amer
Qui ont su traverser les océans du vide
A la mémoire de nos frères
Dont les sanglots si longs faisaient couler l’acide
Always lost in the sea
Always lost in the sea
Tout part toujours dans les flots
Au fond des nuits sereines
Ne vois-tu rien venir
Les naufragés et leurs peines qui jetaient l’encre ici
Et arrêtaient d’écrire
(Noir Désir)