Tandis que la Belle Époque bat son plein, un artiste belge croque les naïades sur la plage étretataise
Étiquette : Pêche
Santé et solidarité : la Société de Secours Mutuels des Marins d’Étretat
Une nouvelle contribution à l’histoire de la mutualité, du début de la IIIe République jusqu’à l’immédiat Après-Guerre
Souvenirs d’un étretatais du siècle
De la mort d’Émile Zola à l’accident de Lady Di, Lucien Vallin a traversé presque tout le XXe siècle et a observé les bouleversements qu’a connu le village dans lequel il était profondément enraciné.
L’âge des mutations : Étretat entre 1830 et 1860
Quand les touristes ont commencé à remplacer les harengs et les maquereaux
La Belle Époque : Étretat avant-guerre
Cette époque fut-elle si belle ? Incontestablement, au regard des années qui ont suivi…
Une banque mutualiste pour les pêcheurs étretatais : la brève histoire du Crédit Maritime d’Étretat
Sans bateau, pas de pêcheurs, mais sans argent, pas de bateau. Les sociétés mutuelles ont été, durant un temps, le moyen de financer l’acquisition ou le renouvellement de l’outil de travail indispensable aux marins. Les pêcheurs d’Étretat, entre les deux guerres mondiales, se sont inscrits dans ce mouvement. Les débuts du mutualisme : le contexte national […]
Des années folles aux années 30, Étretat dans l’entre-deux-guerres
Le monument dédié aux aviateurs Nungesser et Coli, à la fois héros de la Grande Guerre et pionniers malheureux de l’aviation moderne, symbolise ces années d’entre-deux-guerres, entre un passé douloureux et un futur incertain. Étretat entre de plain-pied dans le XXe siècle.
Gradibus virtutis… les escaliers d’Étretat
Gradibus virtutis, sic itur ad astra (on s’élève vers les étoiles par les degrés de la vertu)
Fortunes de mer
Aux sombres héros de l’amer
Qui ont su traverser les océans du vide
A la mémoire de nos frères
Dont les sanglots si longs faisaient couler l’acide
Always lost in the sea
Always lost in the sea
Tout part toujours dans les flots
Au fond des nuits sereines
Ne vois-tu rien venir
Les naufragés et leurs peines qui jetaient l’encre ici
Et arrêtaient d’écrire
(Noir Désir)