Dix ans avant sa mort, Gustave Caillebotte est venu poser son chevalet à Étretat
Étiquette : XIXe siècle
L’âge des mutations : Étretat entre 1830 et 1860
Quand les touristes ont commencé à remplacer les harengs et les maquereaux
Mourir peut attendre : l’espérance de vie des Étretatais(es)
Une plaisanterie apocryphe prétend qu’à Étretat les centenaires ne meurent que par imprudence. Qu’en est-il vraiment ?
Les portes d’Étretat
Meae portae semper apertae sunt
Fortunes de mer
Aux sombres héros de l’amer
Qui ont su traverser les océans du vide
A la mémoire de nos frères
Dont les sanglots si longs faisaient couler l’acide
Always lost in the sea
Always lost in the sea
Tout part toujours dans les flots
Au fond des nuits sereines
Ne vois-tu rien venir
Les naufragés et leurs peines qui jetaient l’encre ici
Et arrêtaient d’écrire
(Noir Désir)
Les premiers recensements de la population étretataise
La première fois que les Etretatais ont été passés en revue, c’était à la veille d’un grand chambardement dont ils n’avaient sans doute pas idée